Aujourd’hui, le champagne est la boisson par excellence des célébrations en tout genre. Il trône fidèlement sur la table pendant les fêtes et ses bulles accompagnent les grand moments de réussite. Mais au fait, pourquoi le champagne est-il devenu synonyme de fête? On revient sur les raisons du succès de celui qui est passé de vin mousseux à boisson légendaire en quelques siècles.

“L’invention” du champagne

On raconte que ce serait le moine Dom Pérignon qui, au 17ème siècle, aurait commencé à commercialiser le champagne. Néanmoins, de nombreux éléments laissent à croire que le champagne existait déjà auparavant. Il est probable que ses premiers vendeurs étaient des producteurs de laine cherchant à se reconvertir dans un secteur plus juteux. Malgré tout, l’origine de la boisson à bulles reste mystérieuse, et on ne sait pas exactement quand, comment et par qui le champagne fut inventé.

Les mythes et les légendes du champagne

La boisson festive fut apparemment témoin de nombreux moments clés de l’histoire, ce qui contribua à forger sa légende. Elle était notamment présente à Reims, dans sa région natale de Champagne-Ardennes, lors des couronnements des rois de France. Déjà, à cette époque, ses bulles faisaient danser les convives qui assistaient à l’événement royal. En outre, Louis XIV aida à construire sa notoriété en faisant du champagne le fidèle acolyte des fêtes somptueuses qu’il organisait.

Le champagne, génie du marketing avant l’heure

Avant même les réseaux sociaux et les placements de produit en tout genre, l’image du champagne fut étonnamment bien modelée. Tout d’abord, les chopes de bois dans lesquelles on le buvait furent abandonnées au profit de verre transparent, plus élégant et raffiné. Ensuite, on commença à l’associer avec de nombreuses personnalités: les artistes à la mode, les héros de l’histoire, et même la nation française toute entière. En effet, lorsque les temps évoluèrent et que l’on commença à préférer couper la tête aux rois français plutôt que les admirer, le champagne se transforma de vin royal à vin national.

Désormais, par un tour de passe-passe surprenant, le champagne ne représentait plus seulement l’élite, mais devenait un symbole de la France toute entière.

Le champagne a réussi à se forger une solide réputation en mélangeant histoire de France et célébrités populaires. Il a traversé les âges et les époques pour atterrir dans nos flûtes de verre, et ses bulles caressent aujourd’hui nos palais lorsque nous sommes d’humeur festive. Si vous cherchez un endroit où savourer cet illustre breuvage, venez donc goûter au Moët et Chandon ou Dom Pérignon au Royal-Opéra , en plein cœur de Paris.

Le beurre, qu’il soit allégé, doux, ou salé, se cuisine dans tous types de plats que ce soient des accompagnements, plats principaux ou dans la préparation et cuisson de savoureux desserts. Sous toutes ses formes, les français en raffolent et sont les plus gros consommateurs de beurre dans le monde. Nous notions en 2012, qu’un français consommait en une année 7,4kg de beurre.

Voici quelques caractéristiques du plus gastronomique des produits laitiers.

Les différents beurres, de la recette traditionnelle à la gastronomie française

Le beurre dans sa version la plus traditionnelle est le beurre cru. Il est directement issu de la crème crue non pasteurisée, contrairement aux autres beurres, issus eux de la crème sous sa forme la plus classique. Le beurre cru aura donc une conservation plus délicate et plus courte. A la recherche d’un beurre plus riche en saveurs et en goût, c’est ce dernier qu’il faut choisir.

Beurre doux ou beurre demi-sel ou beurre salé, il en faut pour tous les goûts. Pour obtenir les versions salées, le beurre doux est mélangé à une portion de sel variant entre 0,5% et 3% de sel en fonction du beurre désiré.

Le beurre facile à tartiner répond lui à une nouvelle tendance de consommation, apparût avec l’arrivée des réfrigérateurs. Bien que facile à tartine, ce dernier reste un beurre classique, avec une texture légèrement différente due à sa fabrication.

Enfin, le beurre allégé, qui malgré une quantité de matières grasses plus faible garde le même goût. Ce dernier ne sera en revanche pas idéal pour cuisiner, puisque plus riche en eau, il supporte mal la cuisson. Il contient 41 à 65% des matière grasse, contre 82% en moyenne. Fabriqués à partir de crème allégée, on peut retrouver aussi des additifs tels que l’amidon ou la fécule.

Les beurres AOP

Nous comptons aujourd’hui 3 beurres à l’appellation d’origine protégée :

Le beurre Charentes-Poitou AOP, produit dans 4 départements de la région : Charente, Charente Maritime, Deux sèvres et Vienne, il est aussi produit dans des départements voisins : Vendée et Haute Vienne. Il est connu comme le plus ancien des beurres.

Le beurre d’Isigny AOP produit dans la région normande. Plus souple, plus moelleux, il est connu et reconnu notamment pour sa couleur plus soutenue liée à une richesse en caroténoïdes. On trouvera le beurre de Poitou, de Charentes-Poitou (le plus ancien), le beurre d’Isigny (le plus coloré) et le beurre de Bresse entre autres.

Le beurre de Bresse AOP, produit dans la région homonyme. Sa texture plus tendre et aérée s’explique par la technique de barattage traditionnelle. Ce beurre est connu pour sa richesse en saveurs conférée par une alimentation très contrôlée des vaches.
Pour goûter nos plats incontournables à base de beurre, consultez notre menu au sein de notre brasserie le Royal Opéra.

Le troisième jeudi du mois de novembre de chaque année à lieu la fête de l’arrivée du Beaujolais nouveau.

Voici l’histoire et la tradition de ce vin particulier et fruité. Accompagné d’une assiette de charcuterie ou de fromages, il est à déguster en famille ou entre amis.

Petite histoire et production du Beaujolais nouveau

La production de ce vin est singulière et se différencie par la courte durée de macération et de mise en vente.

En effet, le beaujolais ne reste que très peu de temps en macération soit 10 jours et est mis en vente seulement deux mois après la récolte. Au fil des années, les pratiques évoluent et le temps de macération tend à être réduit. Nous obtenons ce frais et fruité grâce un cépage à jus blanc, caractéristique des vins festifs. C’est avec l’ajour de levure artificielle que l’on prépare le macérât.

C’est en 1951, que pour la première fois les vignerons de la région Beaujolais se voient autoriser la commercialisation des vins primeurs de l’année. Le vin de Beaujolais nouveau peut désormais être vendu avant le 15 décembre, durant la période de la macération.

C’est à partir de 1960, que l’engouement pour le Beaujolais nouveau prend son essor. Les volumes de production augmentent alors considérablement atteignant 500 000 hl au milieu des années 80.

Ce qu’il faut savoir sur le Beaujolais nouveau

Le Beaujolais nouveau ne représente qu’un tiers de la production totale de Beaujolais, ce qui équivaut par an, à 55 millions de bouteilles. Un vin au succès international. Apprécié par l’ensemble des pays, sa consommation dépasse les frontières françaises. Notons que le Japon est le premier importateur mondial de beaujolais nouveau !

Comme souligné précédemment, il accompagne facilement les plateaux de charcuterie ou de fromages, on notera toutefois un accord plus particulier avec le chèvre frais.

Divers évènements mis en place dans la capitale et en régions pour le Beaujolais nouveau

La fête du Beaujolais nouveau se célèbrera à partir du 16 novembre 2018, avec divers évènements organisés dans Paris et en France à l’occasion de cet évènement ; l’occasion de goûter à ce nouveau cru.

Dans le Pays Beaujolais les festivités se poursuivent toute la semaine. Les producteurs ouvrent leurs caves aux visiteurs pour des dégustations. Des restaurateurs le proposent quant à eux au menu du jour exclusivement pour cette occasion, afin de fêter son arriver et de faire découvrir le nouveau cru de Beaujolais nouveau.

Le Royal Opéra à quelques pas de l’Opéra Garnier, vous attend également pour déguster cette nouvelle cuvée.

La baguette de pain tout comme le vin ou le fromage est un symbole ancré dans la gastronomie française à tel point que le président français Emmanuel Macron souhaiterait l’inscrire au patrimoine mondial de l’humanité.

Mais pourquoi la baguette est-elle un symbole national ? Voici quelques éléments de réponse qui prouvent que la baguette fait partie intégrante du patrimoine français ainsi qu’un retour sur les origines de la baguette.

Les français, grands consommateurs de baguette

Selon l’ouvrage l’Anthropologie des mangeurs de pain, on est français parce que l’on mange du pain, c’est ce qui nous caractérise. Cela parle de notre société, notre quotidien, notre famille…
En effet chaque année ce sont environ 6 milliards de baguettes produites soit 320 baguettes par seconde ! Au début du XX ième siècle on consommait même trois baguettes par personne par jour (un peu plus qu’aujourd’hui) !

Selon une étude menée en 2012 pour le compte de la marque de farine Rétrodor, le pain arriverait en troisième position après le vin et le fromage comme produit phare de la gastronomie française.

La baguette, représentation française à l’étranger

A l’étranger que ce soit dans la presse ou dans les médias, les français sont représentés par une baguette sous le bras, un béret et une 2CV bien évidemment…

Pour goûter notre baguette traditionnelle en accompagnement de votre plat, réservez une table dans notre brasserie le Royal Opéra.

Origines et histoire de la baguette

On raconte que l’origine de la baguette remonte aux campagnes napoléoniennes lorsque celui était rond pour une meilleure conservation. Cette forme aurait été ainsi inventée par les boulangers de Napoléon Ier pour qu’il soit plus facilement transportable par les soldats dans la poche à l’arrière de leur habit.

On dit aussi que la création de la baguette remonte à l’époque de la construction du métro (à la fin du 19ème siècle) lorsqu’un ouvrier aurait demandé à un boulanger de créer un pain de forme allongée pour pouvoir le rompre plus facilement sans couteau.

Le croque-monsieur est un plat français que l’on déguste en brasserie ou restaurant français traditionnel accompagné de frites ou de salade. Mais connaissez-vous son histoire et savez-vous comment bien le cuisiner ?
Voici un retour sur les origines et l’apparition de ce plat ainsi que la recette traditionnelle.

Apparition et origine du croque-monsieur

L’apparition du croque-monsieur remonterait à l’année 1910 lorsque le patron d’un café, Michel Lunarca aurait servi dans un sandwich du pain de mie au lieu de la baguette traditionnelle manquante en stock. Le client se serait exclamé : « C’est de la viande de Monsieur ! » et les autres clients aurait voulu gouter ce sandwich hors du commun.

Aujourd’hui le croque-monsieur se décline en plusieurs recettes avec des fromages différents et de la béchamel. On sert aussi dans les restaurants et brasseries le croque-madame composé d’un œuf au plat à cheval sur le sandwich.
Pour déguster un de nos croque-monsieur à la carte, réservez une table dans notre brasserie dans le quartier d’Opéra, le Royal Opéra.

La recette traditionnelle du croque-monsieur

Cette recette est pour 4 personnes et se réalise en 15 minutes !

Prenez dans un premier temps 8 tranches de pain de mie que vous allez beurrer sur une seule face. Posez ensuite une tranche de fromage (du fromage spécialement conçu pour les croque-monsieur) sur chaque tranche de pain de mie. Puis posez une tranche de jambon pliée en deux sur 4 tranches de pain de mie.

Recouvrir avec les autres tartines (face beurrée vers l’intérieur). Puis dans un bol mélangez 100g de gruyère râpé avec 4 cuillères à soupe de lait ainsi que du sel, du poivre et une pincée de noix de muscade. Répartissez ce mélange sur les croque-monsieur.

Placez ces derniers au four sous le grill pendant 10 minutes.

Astuce : placez les tranches de pain de mie dans le grille-pain avant de les beurrer afin de les rendre plus croustillantes.

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